Chambre de Dagda et Ràn Wallace

Leurs venu à Médian étaient pour tout deux bénéfiques en tout point, ils ne pourraient rien rencontré de pire que les années précédentes. Ils avaient été chanceux, pendant leur excursion dans les bâtiments, il y avait eu personne pour les déranger.

Après un certain moment que les jumeaux ne comptèrent point, ils débouchèrent sur les chambres et trouvèrent la leur.

Une belle enseigne meublait la porte simple, " Dagda et Ràn Wallace " , un numéro aussi était attribué à leur porte.

" Je me demande ce que l’on va trouver derrière cette porte… "
" Ouvre donc " dit gentiment son frère tout bas.

Ràn tourna lentement la poigné qui, à son grand plaisir auditif, ne grinça pas le moins du monde. Dans un lent mouvement (pour le suspense) elle ouvrit la porte, dès que son œil finit d’admiré toute la pièce elle lâcha un tout petit cris de joie.

Il y avait deux grands lits doubles en chêne contre le mur aux couleurs chaleureuses, deux petites lampes de chevet était côte à côte pour chacun des deux lits. Au mur opposé se trouvait une grande armoire avec deux sections pour le linge des colocataires, dans les même teintes que les lits couleur chocolat. Sur le dernier mur se trouvait une grande fenêtre avec vue extérieur, bien que pour le moment les grands rideaux se trouvaient fermé.

La jumelle réussit à enlever la main de Dagda de la sienne pour lui permettre de courir en direction du lit le plus loin, celui approché de la fenêtre qui laissait filtré quelque rayons de soleil. Ràn fit un grand bond sur le lit tout en riant à s’en brisé les côtes, le lit était tant moelleux qu’elle eut l’impression de rebondir. Son rire doux et agréable continua pendant une trentaine de secondes.

La sœur Wallace finit par se ressaisir et se tourna vers son frère bien-aimé.

" Ces lits sont tellement grand que l’on pourrait y dormir tout les deux, même à quatre! Vient te couché voir comment ils sont confortable…l’on va être dépaysé! "

Elle releva toute les couvertures pour se caché à l’intérieur, en s’esclaffant.

Dagda étais encore perdu, comment sa soeur pouvais bien se retrouvé dans tout ses couloirs ? Leur père avait mis le paquet niveau luxe et finance, s’était certainement une très belle chambre, et il n’allait pas s’en plaindre.


Le jumeau marcha lentement vers le large lit ou sa soeur s’y étais emmitouflé, cette fois, un sourire crépit sur son visage, le premier du jour, et l’adolescent bondis sur le lit, prêt de la bosse que formait Ràn qui ris en sentant son poids près d’elle.

« J’aime bien cette endroit, je ne sais pas pourquoi... Mais soeurette, j’ai faim... »

La douce voix du jumeau timide se fis entendre presque silencieusement, Dagda ne parlait jamais fort et c'était certes un peut difficile de le comprendre. Il déposa délicatement ses mains sur le dos de sa soeur, enfin sûrement, vu qu’elle étais caché dans les luxuriantes couvertures.

« Mais... Avant tout... »

Un sourire malicieux apparu sur ses lèvres et il balada légèrement ses mains sur le drap, puis soudainement ses bras devinrent solide et il entrepris de torturé sa bien aimée soeur jumelle avec l’art de la chatouille ou il excellait, bientôt les rires et les « arrêtes, arrêtes ! » se mirent à fusée bien fort, pouvant très bien être entendu hors de la chambre.

Ràn ne pouvait plus empêcher d’immense rire de sortir de sa gorge. Elle se débattait dans tout les sens pour éviter les mains de son, oh combien précieux, frère. Elle bougea tellement qu’elle finit par glisser d’entre les couvertes et tombé du lit. Le bruit de son dos sur le sol fit un claquement terrible qui la fit rire d’autant plus.

La jumelle se mit à genou tout en essayant d’arrêté de rire, ce qui prit un bon cinq minutes à réalisé.

" J’espère que l’on va resté longtemps ici… " Elle posa un regard sérieux sur son frère, avant de reprendre l’air jovial qui l’avait quitter si peu de temps. " Tu as dit que tu as faim? "

Dagda la regarda un moment, il s’était élancé dans sa direction quand il s’était aperçu qu’elle tombait, le soulagement s’insinua en lui quand il s’aperçu que Ràn se portait à merveille.

" Arrête de me regardé comme sa! On ne sera pas à la cuisine avant des lustres si tu ne te relèves pas! "

La sœur du garçon l’attrapa par la main, à peine sa main l’avait frôlé qu’il était prêt à la suivre. En se tenant fermement la main ils se dirigèrent vers la sortie de leur chambre…leur si belle chambre…